Et là se dessine un schéma éclairant. Subitement, je vois mieux ce qui se joue-là, pourquoi une telle hystérie. Ce mec, c’est un Clément. Dans ma perception c’est un Clément. Clément c’est l’ex mythique, la relation où, pour s’en dépêtrer, il a fallu en baver. Deux ans et demi de démêlés pour une relation de départ de, quoi ? quinze jours peut-être. On peut dire que j’en ai chié, mon entourage doit s’en souvenir, car ils en ont soupé. Eh bien là ça recommence. J’ai l’impression que ce sont les mêmes mécanismes funestes qui s’enclenchent. Vu sous cet angle, c’est rassurant de voir qu’il y a quelque part un petit fusible qui vient de péter, une grosse sirène qui s’est déclenchée pour faire dérailler le train avant que les dégâts ne soient trop importants. Une fois ça suffit, merci, j’ai d’autres névroses à traire maintenant. Cela dit, ce garçon nouveau n’est pas non plus le Clément mythique. Ce serait beau qu’il parvienne à s’extirper de ce symbole. Je veux bien lui en laisser la possibilité. Mais la balle est dans son camp. En attendant, moi je vais profiter du soleil.