Androgyny Party : Name dropping
samedi 31 décembre 2005, 18h02
Hier soir, à l’Androgyny, pas de trace de Freaky. Ni de jnsr. Ni d’Orange. Ni de tag. Ni de Fawn. Ni de Comité. Ni de Farkas. Ni d’-alias-.
Mais il y avait quand même du monde. Avec Luke, on a dansé comme des oufs. Je l’adore quand il a bu. Avec Hélène on s’est amusé sur la piste et aux dépens de son prétendant, vulgaire et laid. Avec AC&P on se touche de plus en plus, parfois il me prend de le lécher. Le voir en soirée me réjouit à chaque fois un peu plus. Avec MisterPatate*, on s’est carrément collé des baffes. Il est joueur, l’animal, et mon t-shirt ainsi que mon shampoing semblent l’avoir ravi. Avec Pheel on a improvisé d’étranges chorés sur le remix vulgaire mais habituel de You Spin Me Round de Dead or Alive (special dedicace to Nothing, qui n’a pu se joindre à nous). J’ai aperçu Neimad pour la première fois de ma vie. Ça n’a pas changé le cours de ma soirée. Yann m’a dit que j’avais bonne mine. Le photographe de Têtu m’a dit que j’étais « très joli ». Un garçon m’a copieusement peloté le cul au détour d’une danse endiablée. Voilà un baptême de pantalon tout à fait honorable.
Je commence à me faire à ces ambiances légères, un peu saoules, où on prend plaisir à revoir des gens qu’au fond, on connaît à peine. Je danse n’importe comment, presque sans boire, et je souris en pensant que je suis tellement plus détendu qu’auparavant. Dans ce monde-là les contacts sont devenus inoffensifs, et j’aime bien ces cajoleries incessantes de pétasses alcoolisées, un peu perdues mais pas toujours tant que ça.
*
Et si tout recommençait ? Ce soir, je vais chez PatCo. Pour finir.